Découvrez Alain Mabanckou, un écrivain passionné !
LAFAAAC |
19 mai, 2022 |
afrique, edition, livres |
Alain Mabanckou est un écrivain franco-congolais, né à Pointe-Noire. À la suite de la parution de son premier roman, Bleu-Blanc-Rouge, en 1998, Alain Mabanckou ne cesse de publier avec régularité, aussi bien de la prose que de la poésie.
C'est surtout le roman qui le révèle au grand public, avec notamment Verre cassé, unanimement salué par la presse, la critique et les lecteurs ; puis Mémoires de porc-épic qui lui vaut en 2006 l'obtention du prix Renaudot. Les deux romans sont parus aux éditions du Seuil, respectivement en 2005 et en 2006, grâce aux efforts conjugués d'Émilie Colombani et de Patrick GrainvilleDans un entretien donné à Evene.fr, il souligne que « le danger pour l'écrivain noir est de s'enfermer dans sa « noirceur », comme dirait Frantz Fanon. Il ne s'agit pas de tomber dans le piège de l'affrontement basique entre la civilisation noire et blanche. L'autocritique est essentielle si l'on veut ensuite poser un regard juste sur le reste du monde. » C'est ce qui se dégage dans son essai Le Sanglot de l'homme noir, paru chez Fayard en janvier 2012 et classé dans les meilleures ventes d'essais et documents.
Cependant Alain Mabanckou n'envisage pas d'écrire sans mettre en scène le Congo : « On ne demanderait pas à Gabriel García Márquez de s’extraire de sa Colombie qui constitue la toile de fond de tous ses romans. »
C'est surtout le roman qui le révèle au grand public, avec notamment Verre cassé, unanimement salué par la presse, la critique et les lecteurs ; puis Mémoires de porc-épic qui lui vaut en 2006 l'obtention du prix Renaudot. Les deux romans sont parus aux éditions du Seuil, respectivement en 2005 et en 2006, grâce aux efforts conjugués d'Émilie Colombani et de Patrick GrainvilleDans un entretien donné à Evene.fr, il souligne que « le danger pour l'écrivain noir est de s'enfermer dans sa « noirceur », comme dirait Frantz Fanon. Il ne s'agit pas de tomber dans le piège de l'affrontement basique entre la civilisation noire et blanche. L'autocritique est essentielle si l'on veut ensuite poser un regard juste sur le reste du monde. » C'est ce qui se dégage dans son essai Le Sanglot de l'homme noir, paru chez Fayard en janvier 2012 et classé dans les meilleures ventes d'essais et documents.
Cependant Alain Mabanckou n'envisage pas d'écrire sans mettre en scène le Congo : « On ne demanderait pas à Gabriel García Márquez de s’extraire de sa Colombie qui constitue la toile de fond de tous ses romans. »
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